18 juin 2013
Effraction (2011)
A l'affiche: Nicolas Cage, Nicole Kidman, Liana Liberato, Cam Gigandet, Ben Mendelsohn, ...
Le synopsis par Allociné:
"L’existence de la famille Miller peut sans problème passer pour idéale. Kyle, négociant en diamants, et Sarah, architecte, vivent confortablement avec leur fille Avery, une adolescente un peu rebelle, dans une luxueuse demeure ultra sécurisée que Sarah a d’ailleurs dessinée. Un soir, après une dispute avec sa mère, Avery monte s’enfermer dans sa chambre. Lorsque deux policiers se présentent à la propriété en demandant à voir tout le monde, les Miller s’aperçoivent qu’Avery est partie… Kyle ouvre pour accueillir les policiers, et le cauchemar commence..."
Réaction à chaud: c'est très spécial comme film.
C'est clair qu'on sent la patte de Joel Schumacher... surtout par rapport à Phone Game (beaucoup moins par rapport à Batman Forever).
C'est très tendu, mais en même temps, je n'ai pas vraiment trouvé un intérêt spécifique au film. C'est limite si on se demande pas constamment "et après ? c'est quoi le but ?".
En revanche, pour les rebondissements, on peut rien dire. Il y en a à peu près toutes les 5 minutes. Si bien qu'à la fin, on en a presque le tournis... Ca pourrait quasiment faire "trop"...
J'aime beaucoup Nicolas Cage, mais j'ai pas vraiment aimé son rôle dans ce film. Ca me parlait pas trop... comparé à Benjamin Gates(1) ou à Balthazar Blake(2), rôles dans lesquels il excelle (à mes yeux).
Quant à Nicole Kidman, elle est tout simplement fidèle à elle-même: super, comme toujours. Peu importe le film où je l'ai vue, elle a toujours été au top. Tout lui va.
Pour ce qui est du scénario, j'aurais tendance à dire que ça fait un peu "vu et revu". Du coup, ça donne pas vraiment la sensation du "petit truc différent qui fait mouche". Tout le monde crie, s'énerve, et bouge beaucoup... Et par moment, j'ai trouvé le temps long. Et je me me suis demandée à quoi pouvait servir de faire un film comme celui-ci...
En résumé: pas grand chose de vraiment intéressant à dire sur un film qui ne m'a pas vraiment épatée. C'était du cinéma en mode "tension", mais rien de bien transcendant.
Mots-clés: pourquoi, actif, et colère.
Pas sûre de le conseiller...
***
(1) voir Benjamin Gates et le Trésor des Templiers et Benjamin Gates et le Livre des Secrets.
(2) voir L'Apprenti Sorcier.
17 juin 2013
Batman Forever (1995)
Après Batman: le Défi, voilà la suite !!
A l'affiche: Val Kilmer, Tommy Lee Jones, Jim Carrey, Nicole Kidman, Chris O'Donnell, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Nul ne sait que Bruce Wayne, le patron d'un vaste et puissant consortium, l'homme le plus riche des Etats-Unis, revêt chaque nuit la combinaison et le masque de cuir de Batman pour voler au secours de ses concitoyens injustement opprimés. Personne, hormis son fidèle maître d'hôtel Alfred et son vieil ami, le commissaire Gordon."
Première surprise: ça change vraiment de l'univers Burton !! Ca se sent immédiatement, et ça se voit au fil des minutes: les couleurs ne sont pas les mêmes, les décors non plus... C'est un autre Batman...
Ce que j'ai immédiatement ressenti, c'était de l'inquiétude. Les Batman sont sombres d'ordinaire, mais là, c'était autrement qu'avec un manque de lumière... C'était comme une espèce de tension sous-jacente, comme des non-dits qui perturbent un peu...
J'ai eu le sentiment qu'on tentait aussi de faire passer en Val Kilmer le Batman de Michael Keaton(1). Ca semblait pas naturel... du moins au début.
Par contre, j'ai adoré le personnage de Robin, que je ne connaissais pas du tout. En même temps, je suis encore plus subjective, étant donné que j'apprécie particulièrement Chris O'Donnell. Grâce à la présence de ce jeune homme déboussolé, on a pu comprendre qui était Batman, et d'où il venait. Et j'avoue que ça aurait pu être précisé dans le premier film... Ca manque vraiment... Même si je connaissais déjà à peu près la réponse, ayant vu les deux premiers de Christopher Nolan(2), ça aurait été pas mal de donner ce type de précision d'office.
En dehors de ça, c'était encore un Batman en plastique. Je veux dire que c'était limite crédible. Quand c'est burtonien, ça colle parfaitement, c'est LE truc typique. Mais quand c'est pas du Burton... ça passe beaucoup moins bien.
Je ne veux pas dire que le film n'était pas top. Juste que ça faisait trop "copié" et pas assez "personnalisé". Il y avait un "je ne sais quoi" de trop qui n'allait pas avec le scénario...
Sans compter sur le fait que Batman est plus passé pour un idiot qu'autre chose... Non mais sérieusement, je les ai vus tous venir les coups-fourrés de Double-Face et de l'Homme Mystère. Et c'était vraiment à se demander si Batman avait pas pris un coup de soleil, de ne rien avoir pigé.
Tous les pièges tendus, il est tombé dedans. Ca faisait trop, je trouve.
En résumé, c'était sympathique, et très inquiétant. Mais quand même un peu en plastique... Heureusement qu'il y avait Robin pour donner un coup de pep's, parce que ça aurait pu devenir lassant.
Mots-clés: sympa, inquiétude, et plastique.
Et maintenant j'attends Batman & Robin !!
***
(1) voir Batman et Batman: le Défi.
(2) voir Batman Begins et The Dark Knight: le Chevalier Noir.
A l'affiche: Val Kilmer, Tommy Lee Jones, Jim Carrey, Nicole Kidman, Chris O'Donnell, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Nul ne sait que Bruce Wayne, le patron d'un vaste et puissant consortium, l'homme le plus riche des Etats-Unis, revêt chaque nuit la combinaison et le masque de cuir de Batman pour voler au secours de ses concitoyens injustement opprimés. Personne, hormis son fidèle maître d'hôtel Alfred et son vieil ami, le commissaire Gordon."
Première surprise: ça change vraiment de l'univers Burton !! Ca se sent immédiatement, et ça se voit au fil des minutes: les couleurs ne sont pas les mêmes, les décors non plus... C'est un autre Batman...
Ce que j'ai immédiatement ressenti, c'était de l'inquiétude. Les Batman sont sombres d'ordinaire, mais là, c'était autrement qu'avec un manque de lumière... C'était comme une espèce de tension sous-jacente, comme des non-dits qui perturbent un peu...
J'ai eu le sentiment qu'on tentait aussi de faire passer en Val Kilmer le Batman de Michael Keaton(1). Ca semblait pas naturel... du moins au début.
Par contre, j'ai adoré le personnage de Robin, que je ne connaissais pas du tout. En même temps, je suis encore plus subjective, étant donné que j'apprécie particulièrement Chris O'Donnell. Grâce à la présence de ce jeune homme déboussolé, on a pu comprendre qui était Batman, et d'où il venait. Et j'avoue que ça aurait pu être précisé dans le premier film... Ca manque vraiment... Même si je connaissais déjà à peu près la réponse, ayant vu les deux premiers de Christopher Nolan(2), ça aurait été pas mal de donner ce type de précision d'office.
En dehors de ça, c'était encore un Batman en plastique. Je veux dire que c'était limite crédible. Quand c'est burtonien, ça colle parfaitement, c'est LE truc typique. Mais quand c'est pas du Burton... ça passe beaucoup moins bien.
Je ne veux pas dire que le film n'était pas top. Juste que ça faisait trop "copié" et pas assez "personnalisé". Il y avait un "je ne sais quoi" de trop qui n'allait pas avec le scénario...
Sans compter sur le fait que Batman est plus passé pour un idiot qu'autre chose... Non mais sérieusement, je les ai vus tous venir les coups-fourrés de Double-Face et de l'Homme Mystère. Et c'était vraiment à se demander si Batman avait pas pris un coup de soleil, de ne rien avoir pigé.
Tous les pièges tendus, il est tombé dedans. Ca faisait trop, je trouve.
En résumé, c'était sympathique, et très inquiétant. Mais quand même un peu en plastique... Heureusement qu'il y avait Robin pour donner un coup de pep's, parce que ça aurait pu devenir lassant.
Mots-clés: sympa, inquiétude, et plastique.
Et maintenant j'attends Batman & Robin !!
***
(1) voir Batman et Batman: le Défi.
(2) voir Batman Begins et The Dark Knight: le Chevalier Noir.
14 juin 2013
Batman: le Défi (1992)
Après Batman, voici le 2è opus de Tim Burton.
A l'affiche: Michael Keaton, Danny DeVito, Michelle Pfeiffer, Christopher Walken, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Non seulement Batman doit affronter le Pingouin, monstre génétique doté d'une intelligence à toute épreuve, qui sème la terreur mais, plus difficile encore, il doit faire face à la séduction de deux super-femmes, la douce Selina Kyle et la féline Catwoman qui va lui donner bien du fil a retordre. Si Bruce Wayne apprécie Selina, Batman n'est pas insensible au charme de Catwoman."
Dès les premières secondes, j'ai adoré.
Facile, me direz-vous, sachant que je suis en adoration devant les décors burtoniens. Et là, en prime, il y avait la musique qui allait avec. J'ai trouvé les premières minutes tout simplement exquises.
Je ne sais pas pourquoi, mais dans la globalité du film, j'ai beaucoup plus apprécié celui-ci que le précédent. Batman a l'air plus accessible, et surtout moins torturé, si on peut dire.
Par contre, Catwoman en tient une couche !! Je ne la connaissais pas du tout, et j'ai été assez surprise, et pas forcément dans le bon sens du terme.
Le Pingouin, quant à lui, je l'ai trouvé quasiment parfait. Vraiment crédible. Ca donnait une connotation encore plus étrange au scénario.
L'histoire, par contre, n'est pas vraiment un chef d'oeuvre en soi. Ca reste du "basique" de super-héros. Et encore, j'ai trouvé qu'on ne voit presque pas Batman... limite, ça aurait pu s'appeler autrement.
Le film m'a semblé très psychologique. C'est pas la recette traditionnelle du gentil qui doit sauver le monde. C'est au-delà du mot "gentil" qu'il faut chercher. A vrai dire, pas de gentil, ni de méchant (à part Shreck), mais plutôt des personnages hors du commun, héros ou super-héros, dans leur domaine, avec plus de problèmes que de solutions. Aujourd'hui, on les enverrait tous voir un psy.
Mais en dehors de ça, ça fait réfléchir. Au final, on n'a même pas envie de blâmer ceux qui ne font pas forcément les bons choix. On arrive presque à leur trouver des excuses.
Le film a une autre dimension, quand on regarde derrière les masques...
En résumé: j'ai beaucoup aimé, contrairement à l'idée que je m'en étais faite. Et c'était un très bon moment de cinéma à la Burton.
Mots-clés: agréable, sombre, et héros.
Je recommande !! Et j'attends les autres !!
A l'affiche: Michael Keaton, Danny DeVito, Michelle Pfeiffer, Christopher Walken, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Non seulement Batman doit affronter le Pingouin, monstre génétique doté d'une intelligence à toute épreuve, qui sème la terreur mais, plus difficile encore, il doit faire face à la séduction de deux super-femmes, la douce Selina Kyle et la féline Catwoman qui va lui donner bien du fil a retordre. Si Bruce Wayne apprécie Selina, Batman n'est pas insensible au charme de Catwoman."
Dès les premières secondes, j'ai adoré.
Facile, me direz-vous, sachant que je suis en adoration devant les décors burtoniens. Et là, en prime, il y avait la musique qui allait avec. J'ai trouvé les premières minutes tout simplement exquises.
Je ne sais pas pourquoi, mais dans la globalité du film, j'ai beaucoup plus apprécié celui-ci que le précédent. Batman a l'air plus accessible, et surtout moins torturé, si on peut dire.
Par contre, Catwoman en tient une couche !! Je ne la connaissais pas du tout, et j'ai été assez surprise, et pas forcément dans le bon sens du terme.
Le Pingouin, quant à lui, je l'ai trouvé quasiment parfait. Vraiment crédible. Ca donnait une connotation encore plus étrange au scénario.
L'histoire, par contre, n'est pas vraiment un chef d'oeuvre en soi. Ca reste du "basique" de super-héros. Et encore, j'ai trouvé qu'on ne voit presque pas Batman... limite, ça aurait pu s'appeler autrement.
Le film m'a semblé très psychologique. C'est pas la recette traditionnelle du gentil qui doit sauver le monde. C'est au-delà du mot "gentil" qu'il faut chercher. A vrai dire, pas de gentil, ni de méchant (à part Shreck), mais plutôt des personnages hors du commun, héros ou super-héros, dans leur domaine, avec plus de problèmes que de solutions. Aujourd'hui, on les enverrait tous voir un psy.
Mais en dehors de ça, ça fait réfléchir. Au final, on n'a même pas envie de blâmer ceux qui ne font pas forcément les bons choix. On arrive presque à leur trouver des excuses.
Le film a une autre dimension, quand on regarde derrière les masques...
En résumé: j'ai beaucoup aimé, contrairement à l'idée que je m'en étais faite. Et c'était un très bon moment de cinéma à la Burton.
Mots-clés: agréable, sombre, et héros.
Je recommande !! Et j'attends les autres !!
9 juin 2013
Numéro Quatre (2011)
Le synopsis avait l'air sympa, je me suis lancée.
A l'affiche: Alex Pettyfer, Dianna Agron, Timothy Olyphant, Jake Abel, Callan McAuliffe, Kevin Durand, ...
Le synopsis par Allociné:
"Trois sont déjà morts. Qui sera le quatrième ? Un adolescent extraordinaire, John Smith, fuit devant des ennemis prêts à tout pour le détruire. Changeant perpétuellement d’identité, ne restant jamais longtemps dans la même ville, il est accompagné par Henri, qui veille sur lui. Partout où il va, John est le nouveau venu, celui qui n’a aucun passé. Dans la petite ville de l’Ohio où il s’est installé, il va vivre des événements inattendus qui vont changer sa vie. De son premier amour à la découverte de ses incroyables aptitudes, il va aussi se lier à des personnes qui partagent son fascinant destin…"
Au départ, je me demandais si un film sur les extraterrestres pourrait m'intéresser... et au final, c'était plutôt pas mal.
Il faut un certain temps pour se mettre réellement "dans le bain", parce que ça traîne un peu, tout en étant à la fois trop rapide.
En fait, dès le départ, on comprend qu'il se passe quelque chose de pas normal, mais on ne comprend pas trop quoi. D'un coup, les choses s'accélèrent, mais on ne nous dit pas tout. Du coup, j'ai trouvé que ça faisait presque "too much".
Et puis ça se tasse, on apprend ce qu'on doit savoir pour comprendre le film, et les fils se démêlent progressivement. Ce qui implique qu'au bout de 45 minutes, on cerne à peu près le pourquoi du comment. Et du coup, ça devient beaucoup plus abordable.
Et à 20 minutes de la fin, ça devient LE film d'action avec des méchants très très méchants, et des gentils qui s'énervent.
Et j'ai trouvé assez "facile" le fait d'avoir des méchants en rouge avec des armes à feu rouge, et des gentils en bleu avec des armes à feu bleu. Mais en même temps, vu le micmac total, c'était probablement nécessaire pour pas qu'on se perde totalement dans le flot de l'action.
Les acteurs étaient bien comme il faut, malgré ma petite déception de voir encore Jake Abel dans le mec arrogant au possible (1). Mais ça passe vite, étant donné que le film reste cohérent.
J'ai bien aimé cette vision des extraterrestres, de plus en plus humanisés et humains (pour les gentils). Par contre, les méchants, il faut toujours qu'ils ne ressemblent à rien. Apparemment, c'est plus pratique pour les distinguer...
Quant aux super-pouvoirs limite traditionnels des héros, je les ai trouvés marrants, mais intéressants. Surtout le coup des mains !!
En résumé: le film est sympathique dans l'ensemble, je ne me suis pas lassée. J'ai trouvé que l'histoire était relativement bien ficelée, et c'était bien agréable à regarder.
Mots-clés: extraterrestres, pouvoirs, et agréable.
Par contre: ce serait possible d'avoir la suite, s'ils vous plaît ?? Parce que je suis restée sur ma faim là !!
***
(1) voir Percy Jackson: le voleur de foudre.
A l'affiche: Alex Pettyfer, Dianna Agron, Timothy Olyphant, Jake Abel, Callan McAuliffe, Kevin Durand, ...
Le synopsis par Allociné:
"Trois sont déjà morts. Qui sera le quatrième ? Un adolescent extraordinaire, John Smith, fuit devant des ennemis prêts à tout pour le détruire. Changeant perpétuellement d’identité, ne restant jamais longtemps dans la même ville, il est accompagné par Henri, qui veille sur lui. Partout où il va, John est le nouveau venu, celui qui n’a aucun passé. Dans la petite ville de l’Ohio où il s’est installé, il va vivre des événements inattendus qui vont changer sa vie. De son premier amour à la découverte de ses incroyables aptitudes, il va aussi se lier à des personnes qui partagent son fascinant destin…"
Au départ, je me demandais si un film sur les extraterrestres pourrait m'intéresser... et au final, c'était plutôt pas mal.
Il faut un certain temps pour se mettre réellement "dans le bain", parce que ça traîne un peu, tout en étant à la fois trop rapide.
En fait, dès le départ, on comprend qu'il se passe quelque chose de pas normal, mais on ne comprend pas trop quoi. D'un coup, les choses s'accélèrent, mais on ne nous dit pas tout. Du coup, j'ai trouvé que ça faisait presque "too much".
Et puis ça se tasse, on apprend ce qu'on doit savoir pour comprendre le film, et les fils se démêlent progressivement. Ce qui implique qu'au bout de 45 minutes, on cerne à peu près le pourquoi du comment. Et du coup, ça devient beaucoup plus abordable.
Et à 20 minutes de la fin, ça devient LE film d'action avec des méchants très très méchants, et des gentils qui s'énervent.
Et j'ai trouvé assez "facile" le fait d'avoir des méchants en rouge avec des armes à feu rouge, et des gentils en bleu avec des armes à feu bleu. Mais en même temps, vu le micmac total, c'était probablement nécessaire pour pas qu'on se perde totalement dans le flot de l'action.
Les acteurs étaient bien comme il faut, malgré ma petite déception de voir encore Jake Abel dans le mec arrogant au possible (1). Mais ça passe vite, étant donné que le film reste cohérent.
J'ai bien aimé cette vision des extraterrestres, de plus en plus humanisés et humains (pour les gentils). Par contre, les méchants, il faut toujours qu'ils ne ressemblent à rien. Apparemment, c'est plus pratique pour les distinguer...
Quant aux super-pouvoirs limite traditionnels des héros, je les ai trouvés marrants, mais intéressants. Surtout le coup des mains !!
En résumé: le film est sympathique dans l'ensemble, je ne me suis pas lassée. J'ai trouvé que l'histoire était relativement bien ficelée, et c'était bien agréable à regarder.
Mots-clés: extraterrestres, pouvoirs, et agréable.
Par contre: ce serait possible d'avoir la suite, s'ils vous plaît ?? Parce que je suis restée sur ma faim là !!
***
(1) voir Percy Jackson: le voleur de foudre.
3 juin 2013
Batman (1989)
L'intégralité des" Batman" est proposée à la télé... alors c'est parti !!!
A l'affiche: Michael Keaton, Kim Basinger, Jack Nicholson, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Le célèbre et impitoyable justicier, Batman, est de retour. Plus beau, plus fort et plus dépoussiéré que jamais, il s'apprête à nettoyer Gotham City et à affronter le terrible Joker..."
Voilà bien des années que je ne l'avais pas vu... et ça fait bizarre de s'y remettre (surtout quand on se souvient de Christian Bale plus que de Michael Keaton)...
Et entre temps, j'ai eu l'occasion de m'habituer à l'univers Burton...
Déjà, en ce qui concerne l'ambiance: c'est de l'authentique Burton. Cette teinte "bleu canard" qui atténue les autres couleurs, ces bâtiments qui ressortent plus sombres qu'ils ne devraient l'être... En gros: il y a Gotham City, et LE Gotham City Burtonien. Et la différence est visible pour qui s'y penche un peu.
Du coup, le film a une saveur assez particulière.
Ca m'a fait penser à une BD. J'ai vraiment eu cette sensation de parcourir des images et de lire des bulles, plus que de voir un film. C'est très étrange.
Ce qui m'a étonnée aussi, c'est le Joker. Me restait en mémoire celui d'Heath Ledger... et c'est le jour et la nuit avec celui de Jack Nicholson.
Le Joker burtonien est exagérément théâtral (ce qui n'est pas une critique négative), très "cirque", et vraiment ancré dans la folie pure. Ce qui fait qu'on peut se déconnecter rapidement quand il entre en scène. C'est comme s'il y avait deux mondes bien distincts: le monde "gentil" de Batman qui est tout noir et très obscur, et le monde "méchant" du Joker qui est très coloré et expressif.
C'est comme si on se retrouvait dans la position de la chauve-souris, en fait: suspendus, la tête en bas, avec une vision du monde totalement à l'opposé de celle à laquelle on peut s'attendre.
Pour le reste, on sent bien le film de la fin des années 80, avec ce que ça implique. Et j'ai trouvé ça "marrant". Les effets spéciaux, les costumes, c'était déjà bien à l'époque, au final, quand on y pense... Ca fait peut-être un peu plus authentique que maintenant...
En résumé: je me suis bien remise dans le bain, regrettant qu'on n'ai pas plus d'infos sur la "création" du personnage de Batman par Bruce Wayne, mais ça passe. Surtout qu'on sait d'avance qu'il gagne forcément à la fin...
Mots-clés: héros, sympa, et sombre.
C'est parti pour Batman; le Défi !!
A l'affiche: Michael Keaton, Kim Basinger, Jack Nicholson, Michael Gough, ...
Le synopsis par Allociné:
"Le célèbre et impitoyable justicier, Batman, est de retour. Plus beau, plus fort et plus dépoussiéré que jamais, il s'apprête à nettoyer Gotham City et à affronter le terrible Joker..."
Voilà bien des années que je ne l'avais pas vu... et ça fait bizarre de s'y remettre (surtout quand on se souvient de Christian Bale plus que de Michael Keaton)...
Et entre temps, j'ai eu l'occasion de m'habituer à l'univers Burton...
Déjà, en ce qui concerne l'ambiance: c'est de l'authentique Burton. Cette teinte "bleu canard" qui atténue les autres couleurs, ces bâtiments qui ressortent plus sombres qu'ils ne devraient l'être... En gros: il y a Gotham City, et LE Gotham City Burtonien. Et la différence est visible pour qui s'y penche un peu.
Du coup, le film a une saveur assez particulière.
Ca m'a fait penser à une BD. J'ai vraiment eu cette sensation de parcourir des images et de lire des bulles, plus que de voir un film. C'est très étrange.
Ce qui m'a étonnée aussi, c'est le Joker. Me restait en mémoire celui d'Heath Ledger... et c'est le jour et la nuit avec celui de Jack Nicholson.
Le Joker burtonien est exagérément théâtral (ce qui n'est pas une critique négative), très "cirque", et vraiment ancré dans la folie pure. Ce qui fait qu'on peut se déconnecter rapidement quand il entre en scène. C'est comme s'il y avait deux mondes bien distincts: le monde "gentil" de Batman qui est tout noir et très obscur, et le monde "méchant" du Joker qui est très coloré et expressif.
C'est comme si on se retrouvait dans la position de la chauve-souris, en fait: suspendus, la tête en bas, avec une vision du monde totalement à l'opposé de celle à laquelle on peut s'attendre.
Pour le reste, on sent bien le film de la fin des années 80, avec ce que ça implique. Et j'ai trouvé ça "marrant". Les effets spéciaux, les costumes, c'était déjà bien à l'époque, au final, quand on y pense... Ca fait peut-être un peu plus authentique que maintenant...
En résumé: je me suis bien remise dans le bain, regrettant qu'on n'ai pas plus d'infos sur la "création" du personnage de Batman par Bruce Wayne, mais ça passe. Surtout qu'on sait d'avance qu'il gagne forcément à la fin...
Mots-clés: héros, sympa, et sombre.
C'est parti pour Batman; le Défi !!
2 juin 2013
10 000 (2008)
** Coup de coeur **
Le résumé de ce film a attisé ma curiosité...
A l'affiche: Steven Strait, Camilla Belle, Cliff Curtis, Affif Ben Badra, ...
Le synopsis par Allociné:
"10 000 ans avant notre ère, au coeur des montagnes... Le jeune chasseur D'Leh aime d'amour tendre la belle Evolet, une orpheline que sa tribu recueillit quelques années plus tôt. Lorsque celle-ci est enlevée par une bande de pillards, D'Leh se lance à sa rescousse à la tête d'une poignée de chasseurs de mammouths. Le groupe, franchissant pour la première fois les limites de son territoire, entame un long périple à travers des terres infestées de monstres, et découvre des civilisations dont il ne soupçonnait pas l'existence. Au fil de ces rencontres, d'autres tribus, spoliées et asservies, se joignent à D'Leh et ses hommes, finissant par constituer une petite armée.
Au terme de leur voyage, D'Leh et les siens découvrent un empire inconnu, hérissé d'immenses pyramides dédiées à un dieu vivant, tyrannique et sanguinaire. Le jeune chasseur comprend alors que sa mission n'est pas seulement de sauver Evolet, mais la civilisation tout entière..."
Au tout début du film, on peut s'attendre à des hommes préhistoriques "basiques", tels qu'on nous les présente en général. Mais le narrateur arrive à nous tenir en haleine, et on a une envie permanente de savoir ce qu'il va se passer.
L'histoire commence presque normalement, avec une romance, et un combat pour gagner le "coeur" de la belle. Mais sans s'y attendre, on est transporté dans une quête qui va au-delà de ce qu'on pouvait s'imaginer.
Le récit tient la route, et rien ne m'a choquée. Je ne cherchais pas à déceler une quelconque vérité historique, j'avais juste envie de comprendre quel pouvait être le message final que le film cherchait à délivrer... parce que dès la première seconde, on sait qu'il y a une prophétie, et qu'elle apportera quelque chose de grand.
Les acteurs ont été, à mon goût, parfaits dans leurs rôles. Je n'ai absolument rien remarqué qui pouvait être à redire. Je les ai trouvés crédibles de bout en bout.
Quant au film en lui-même, impossible d'en détacher un morceau pour en parler, parce que c'est un tout, et pas un puzzle. Il faut le prendre et le voir dans sa globalité, jusqu'à la dernière seconde, parce que les rebondissements sont permanents, et toujours aussi surprenants.
En résumé: contre toute attente, j'ai complètement été happée par ce film que j'ai ressenti comme une belle fresque "historique". C'est une leçon de vie. C'est un espoir que la technologie nous enlève avec toutes les pseudos facilités qu'elle nous donne l'illusion de nous apporter, parce qu'au final, on est humains, et c'est notre nature dans son ensemble qu'on renie en oubliant "d'où on vient". Voilà ce que ce film m'a inspiré.
Un vrai coup de coeur !!
Mots-clés: vrai, courage, et combat.
A voir !!
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